mardi 24 février 2009

"Le temps que je cale un morceau"


Du XXeme à Clermont Ferrand en Auvergne, l'endroit où l'on trouve la janséniste pierre de volvic, des lunettes d'aviateurs suisses et le très accueillant Raymond bar. Une superbe maison, des hôtes parfaits, ça fait plaisir.


Quelques bonbons de la nature plus tard, il fait déjà bien froids dans le quartier.


Une bonne raison pour traîner dans le quartier. Entre deux zônages en règle vers Ménil, on retrouve de vieux murs amis qui ont su se peupler au fil du temps, non sans humour.



L'art est fatiguant, être un artiste un combat permanent contre l'absurdité de ce monde.


Du coup, il faut savoir se poser, même lorsque l'on est cascadeur.




A peu près au même moment, Johnny Boy luttait contre le froid dans une mirroit' bien vide et hivernale.




Alors il faut se mettre à l'abri et se réchauffer. Parler, faire un peu de bruit et par instants savoir baisser les yeux.



Du côté de Belleville, un trou dans le temps pour de chouettes retrouvailles et d'improbables rencontres.



Toi aussi, tu le sens?


Une vraie terreur la bretonne des Landes.


Précision indispensable.



Efficacité remarquable.


"Trois cafés calva s'il vous plaît.
- Je sens qu'on va s'entendre, les jeunes."


Elle a de nombreux cartables de paroles qu'elle distribue patiemment et avec un sourire aux gens présents, termine son tour de chant sur le temps des cerises, a dansé avec accordéon et paniers, nous a adressé quelques mots dehors en nous confiant ses mains tatouées griffant l'air qu'elle avait chanté un peu plus tard car "vous êtes arrivés un peu tard mais que vous aviez l'air d'aimer ça, les enfants".


Jack le Red. Juste une perle, même s'il est encarté (est-ce donc possible, mister Blue!) pour de vrai au RASH New York. Oi!


Don't mess avec le marécage, ok?


Pompon se prend pour Sapiens, enfin Fred, quelle drôle d'idée.



Faut-il faire une analyse politique de ces deux collages finement rapprochés rue des Vignoles?


Une impasse de combat.


Pendant ce temps là, Chloé (Orléans bordel!) monte des meubles qui pèsent leur race. Avec Fab on est déjà en haut, un peu essouflés donc normal on lui met un peu la pression hein.


Monsieur Jean-Charles dit Oeil de Lynx ou le Jinx, grand fan de Fisc. To handle with care . Bien que venant de Montbrison, une ville que Paris étale facile, puis récemment relogé sur Saint Etienne une endroit dans les mines là-bas, cet énergumène ignore -certainement un dilemne intérieur- qu'il devrait arrêter son métier pour s'investir dans les championnats d'air guitar avec mention heavy metal. Bientôt deux enfants.


Ruz' dans le metro.


Bon acc' power, toujours. Faut que j'y coince Alice et Christophe pour leur passer "Workin' for MCA.

"Seven years of hard luck comin' down on me
from a motor boat, yes, up in Nashville, Tennessee.
I worked in every joint you can name, yes, every honky tonk.
They all come to see yankee slicker saying, baby, you're what I want.

Want you to sign the contract,
want you to sign the date.
Gonna give you lots of money
workin' for MCA.

Oh, nine thousand dollars just to sow to the wind.
Come to smile at the yankee slicker with a big old southern grin.
They're gonna take me out to California, gonna make me a super star.
Just pay me all my money, mister, maybe you won't get a star.

Want you to sign the contract,
want you to sign the date.
Gonna give you lots of money
workin' for MCA.

Slickers steal my money since I was seventeen,
if it ain't no pencil pusher then it got to be a honky tonk queen.
But I signed my contract, baby, and I want you people to know
that every penny I make, I gotta see where my money goes.

Want you to sign the contract,
want you to sign the date.
Gonna give you lots of money
workin' for MCA."


Un regard noir à la parole errante, un endroit un peu hors du temps, très dur à habiter mais où il se passe indiscutablement de drôles de choses, un esprit (un fantôme?) planant au-dessus de ce lieu bien intrigant.


Et captivant de ses expositions très fournies.


L'âge de l'apocalypse.


Chez les quenelles, Flex a même appris à donner des cours pour expliquer comment servir une pression. Option changement de fut incluse.


Au coin du comptoir, à l'arrache.



Paranoïd time, sur radio canut le mardi à 23h. Ecoutable en ligne et faut pas se priver. D'ailleurs je me branche, c'est commencé depuis six minutes. C'est qu'on est précis sur l'horaire à Lyon. Tant pis, je coupe le premier album de Die Kreuzen, qu'est juste une pure tuerie et que j'ai découvert grace à Jub lors de ladite émission. Rudimentary Peni revu par un groupe de punk rapide ricain.


"Salle non fumeur".


La vie, c'est aussi savoir se remettre en question.


Hail S.P.A Genevilliers, squatte le monde et accessoirement fais-y des concerts de punk. Punk fucking rock.


Trash not thrash ou l'inverse.


A Paris, on est en sécurité, tu sors de la préfecture pour un permis de conduire et on te rassure à coup de toiles couvrant ses murs. Le quai avec la flotte est quelques mètres derrière, la belle ile de la Cité peut être rassurée, elle est sous protection. Effrayant.


Mabel x Tot. Arg.


Sur des dizaines de mètres. La société du contrôle et de la peur.


Une nuit agitée au lap, Michou et Pompon font de l'art brut.


Chuck Schuldiner.


Des chiottes, un lycée pas totalement comme les autres, pas mal de rencontres, une vieille glissade dans un décalage horaire.


Finir avec un vélo. Pendant le groupe de fin. Groupe. Bike. Fin.

lundi 16 février 2009

Le mur

Je ne résiste pas à ça.