Les pendiculations: Kreupele Nachtegaal

Table de loi du Raymond Bar à Clermont, total respect le lieu les gens l'accueil des plus sympathiques, le café méticuleux...

Dex à Saint Etienne, en proie à une furieuse envie de taboulé, prêt à faire support de fusée. On y trouve également de la queue de charrue (malheureusement, pas la brune).

PP le moko, austrasien, juste avant que Strong as ten n'honore son adage "ne pas rester chez l'habitant si on peut se la rentrer" (Cherchez pas, y en a un qui se lève à 16h). En fait, les bonbons de la nature, c'est eux. Quelques jours plus tard, le bougre ne tenant plus en place est venu chez les quenelles pour le concert de fin d'année, du moins se déroulant un 31 au soir finalement fidèle au comportement animal universel, dans un local situé près de fenêtres brisées non loin du quartier de Monplaisir.
Sur le conseil de potes je passe à une petite boutique qui leur avait réservé de coquettes surprises et quelques jours plus tard je me retrouve à aller fouiller dans cette cave remplie ras la gueule de 33 tours, de 45 tours, de bd genre des collections entières de Strange, de Marvel, Spidey et autres comics un peu jaunis, des murs entiers de cd en perdition.

Dans l'antre d'une petite rue du vieux Lyon, sous terre, près pour une paire d'heures à agiter des vinyls par passion, amusement et jeu. Le goût du labyrinthe et de la curiosité.

"Vous auriez pas du Frehel là-dedans, par hasard?
- Ah bah non, la musique française c'est une autre cave avec peut-être sept ou dix mille disques.
-Ah..."

Y avait quand même Bonded by blood d'Exodus, le premier album d'Hirax et la totale de Raven, c'était pas foutu.

Du premier disque Panx à la totale d'Ultravox, un deux titres italien de Joy division avec un fanzine et une quantité impressionnante de n'importe quoi musical joyeusement rassemblé.