mercredi 15 octobre 2008

Le goût de la ville


Blade Runner avec les punx.


Et des passages au Bon accueil, qui porte bien son nom. Avec de la musique partout et des souvent des rencontres au boût du fil..




Yann en transe, chocolat billy à la mirroiterie.


Le metro, toujours le metro, encore le metro. Des kilomètres de publicité...



Un punk à l'abri, Heinrich jamais détruit.



Ingrinnnnnnnd


Sam et un cornichon à la la mirroiterie. 2007 est sur la fin.


Avec Jc et zombie on est allé faire un tour à Mennecy, à l'allée comme au retour nous avons eu froid dans le dos au moment de passer la station du bras de fer, génopole (!!!) comme c'est écrit sur les panneaux. Izba imprononçable faisait un pur set au squat du petit théâtre et l'eau jaillit durant la nuit à l'intérieur de la maison déclenchant liesse et enthousiasme général. C'est beau une grosse clé des fois. Rentrés repus, nous avons dormi trois quatre heures histoire de partir dans de bonnes conditions sur le festival qui finirait par donner une bonne grippe à notre bon nico.



J'ai mis un skeud de Decontrol et tout s'est détraqué.



Fred avec sa récup, ça le fait. Angers en force.



Au kiosk, de chouettes passant-e-s font un détour et se posent avec légèreté.



Dans les villes tu trouves même les gens de la montagne.
Notamment dans la chouette grande salle de la poulaille à saint etienne. Tout le monde y avait un petit air de musique en tête.



Debout


Faut avancer le zine hein. Deux tubes de colle, un stylo du papier, d'autres zines pour glander tranquille parce que quand même c'est pas l'usine, des feuilles gommées, il ne manque que le mug pour le café, le tout dans les étoiles.



Conversion Lyon-Paris, toujours un peu violent le contraste, mais il y a moyen de traîner, du périphérique de la porte de Montreuil au 18eme arrondissement, mi Janvier 2008. Un peu la nuit, aussi.




Ou dans la rue de Charonne, une vitrine cachait de drôles de personnages complètement hypnotisants dans cette rue quasimment déserte en semaine.




On aurait dit qu'ils étaient vivants. D'une certaine manière, ils semblaient plus aptes à traverser les époques que n'importe quel humain. Peu surprenant.


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