jeudi 30 octobre 2008

Vacuum disorder


D'abord, une photo de pin-up qui s'adresse au peuple. Rien de mieux pour ramener du public.



Un bel exemple d'amour vache au Bon accueil, l'endroit qui porte toujours bien son nom.



Un peu plus tard, du côté de Montreuil où la fête battait son plein. On y rencontrait des personnes aux prénoms de présentatrice de films d'horreur, normal pour un fantôme.



C'est toujours avec surprise que je constate la liesse que Ghost Mice peut engendrer en concert. Bon, à mon corps défendant j'ai presque trouvé ça pas mal en cette charmante nuit montreuilloise où nous étions rassemblés dans le garage de la famille d'Hugo nikomok ta mère, mais fameux. Un véritable house show en somme.
Bon sang que je déteste les fêtes.
Ok, je mets l'autre face du 12" de Rouse après une bonne partie de la soirée à écouter la presque totale de Warsore. Faudrait pas que je déprime non plus.



C'est ça loulou, kiffe ta race!



Bah voyons, les autres aussi tant qu'on y est. On notera que Pascalou lève sa basse assez haut (je pense qu'elle est plus épaisse que cet acteur des Louise Mitchel dont vous devriez sur le champ aller écouter quelques morceaux), Gypsie King du 93 ma gueule. Normal, c'est pas électrique.
L'intolérance ou rien.



L'antre d'H-mi, au Muscadet. A kind of blue pourrait-on dire.



Tot et Pompon, attentifs pendant le concert lénifiant de Margareth Thrasher au Parvis de Bagnolet. Il semblerait que les deux tours jumelles jouxtant le rade soient réellement des répliques de celles ayant nécessité un léger ravallement de façade à New York, du côté du world trade center, un de ces trucs qui permettent aux riches de nous mettre la patée quand ils ne sont pas en train de pleurer la déliquescence de leur saloperie de marché boursier. Ici on préfère les maraîchers et la récup, ok?



A l'abri, pas mal de monde boit du café. Du calva, aussi.



Pendant ce temps à la mirroit Phil est concentré. Faut dire que Sotatila va jouer et qu'une bande d'anglais sont en train de défoncer nos oreilles avec un pur punk hardcore.
Does Rouse sucks?



"The worst toilets of Scotland". Ah non, c'est à la mirroit', mille excuses. Si je pouvais, je déplacerai ce chiotte dans la maison de Jack Control, le vieux bouffon de Severed head of state, batard de son état avec un cerveau gros comme une noix et une sensibilité proche de l'obscurantisme.



Vlad is grindcore. Comme le Scrawl, un peu mou mais quand même pas dégueu quelques jours plus tard au Sans Plomb, un chouette squat -d'artistes certes mais ça n'empêche pas- dans cette bonne vieille ville coco d'Ivry sur seine.



Paye ton grindcoreux skin fan de ska.


Alors lui, c'est son petit frère. Pas faux, il n'atteint que difficilement deux mètres. Si on parlait lieux communs, ce serait une déception pour sa patrie germanique.




Très chouette personne bien que jouant du piano. Fantastique nez rouge du reste.




Retour au Pixi (Bagnolet), Lost Boys venait jouer son punk hxc avec un son surf des familles bien réussi et parfaitement intense, en mode parpaing dans la gueule. Entre autres une petite reprise de Circle Jerks, toujours bon à prendre en ces temps de disette.





Seb Néant et Michou (oh Michoooouuuuuu), légèrement dubitatifs. Ou peut-être ivres, je ne sais plus.



Noël en Septembre, c'est pas commun.



Pixi's hall of fame.



Da brutal ben, constipé par le manque de sludge durant le set de Corrupted à paname.
Tiens, un petit album d'Evil, ça ne me fera pas de mal. Ca me fait penser que la Pologne me manque. Souvent, d'ailleurs.




Emy la picole, notre maîtresse à tou-te-s, en train de discuter avec Charlotte. Fichtre les filles, y a concert dans la salle, merde.



Le bourreau et son double, un exemplaire polar de... ah non.





Genre...



Un petit coup à la pissotière et tout revient à la normale. Pas mal ce concert de Corrupted à passer 95% du temps dehors en compagnie d'un Piero de compétition.



Et toi, como esta?


Pour finir sur Stéphane chti pépère dans une forme éblouissante après un excellent set de Crippled old farts à Pantin à l'inattendu pour le Réju fest II. J'étais très surpris de la légèreté de l'affluence pour ce festival quelque part assez curieux mettant en exergue des groupes que l'on a finalement assez peu l'occasion de voir par chez nous ou au style pas si récurrent que ça... M'enfin, il paraît que les français sont des veaux alors...


mercredi 15 octobre 2008

Le goût de la ville


Blade Runner avec les punx.


Et des passages au Bon accueil, qui porte bien son nom. Avec de la musique partout et des souvent des rencontres au boût du fil..




Yann en transe, chocolat billy à la mirroiterie.


Le metro, toujours le metro, encore le metro. Des kilomètres de publicité...



Un punk à l'abri, Heinrich jamais détruit.



Ingrinnnnnnnd


Sam et un cornichon à la la mirroiterie. 2007 est sur la fin.


Avec Jc et zombie on est allé faire un tour à Mennecy, à l'allée comme au retour nous avons eu froid dans le dos au moment de passer la station du bras de fer, génopole (!!!) comme c'est écrit sur les panneaux. Izba imprononçable faisait un pur set au squat du petit théâtre et l'eau jaillit durant la nuit à l'intérieur de la maison déclenchant liesse et enthousiasme général. C'est beau une grosse clé des fois. Rentrés repus, nous avons dormi trois quatre heures histoire de partir dans de bonnes conditions sur le festival qui finirait par donner une bonne grippe à notre bon nico.



J'ai mis un skeud de Decontrol et tout s'est détraqué.



Fred avec sa récup, ça le fait. Angers en force.



Au kiosk, de chouettes passant-e-s font un détour et se posent avec légèreté.



Dans les villes tu trouves même les gens de la montagne.
Notamment dans la chouette grande salle de la poulaille à saint etienne. Tout le monde y avait un petit air de musique en tête.



Debout


Faut avancer le zine hein. Deux tubes de colle, un stylo du papier, d'autres zines pour glander tranquille parce que quand même c'est pas l'usine, des feuilles gommées, il ne manque que le mug pour le café, le tout dans les étoiles.



Conversion Lyon-Paris, toujours un peu violent le contraste, mais il y a moyen de traîner, du périphérique de la porte de Montreuil au 18eme arrondissement, mi Janvier 2008. Un peu la nuit, aussi.




Ou dans la rue de Charonne, une vitrine cachait de drôles de personnages complètement hypnotisants dans cette rue quasimment déserte en semaine.




On aurait dit qu'ils étaient vivants. D'une certaine manière, ils semblaient plus aptes à traverser les époques que n'importe quel humain. Peu surprenant.