"Même quand il chante à l'intérieur il pleut"
Dernier concert parisien (chez la mama) d'une véritable légende urbaine, Munda di mierdo.
samedi 25 avril 2009
mardi 21 avril 2009
Ca sert à rien
Chroniques à la con
Noir de Cou n°1 (zine) :
Bon eh bien il faut croire que wee wee est capable de deviner à l'avance ce que je penserai d'un zine... D'abord une superbe couverture sérigraphiée à Bordeaux du côté de loulou prod dessinée par Momo et LL cool jo. Le sommaire n'est pas de ceux qui me font bondir (Alicja Trout, Henry fiat's open sore, une pin up etc) même si la perspective de découvrir des trucs que je ne connais pas m'intrigue. Des chroniques de skeuds, des dessins, quelques photos (de David p, fort réussies comme souvent) bon normalement ça peut le faire. Format A5 impeccable, mise en page simple mais aérée et agréable. Ca commence pas si mal. Et puis là le ton du zine s'impose. Très maniéré, assez branleur mais d'une manière démonstrative, les interviews ne me motivent pas plus que ça, évidemment t'es rock and roll coco, t'as tout compris à la vie et aux blagues foireuses, qui foutent la honte, franchement j'aimerais pas boire un coup en terrasse avec toi mec, du coup tu t'en vantes dans des reports inutiles ou dans des chroniques de disques dont tu ne sais pas grand chose à la fin de leur lecture si ce n'est qu'il faut aimer ou pas pour être dans la course. Rien à foutre. Le texte sur les reformations par wee wee est pas mal mais il manque de place, ça m'a donné l'impression qu'il était incomplet, pas fini. Au final, sorti de quelques pages lues de haut en bas j'ai quand même souvent eu envie de passer à l'article suivant, ce qui est arrivé un peu trop de fois à mon goût. Ca fait bizarre d'autant plus que la plupart des acteurs de ce zine ont dans l'ensemble déjà pas mal de kilométrage pour tout ce qui concerne l'impression papier de ce genre d'objets. A toi de voir.
Deathraid s/t Lp (Black water records) :
Premier lp pour ce groupe de Seattle qui balance discrètement 14 morceaux directs et violents dans la tradition du coin dont on sent bien l'influence. Avec des membres qui ont pour certains déjà pas mal de bouteille ça fusille de loin mieux que Consume et ça lorgne à mort du côté de State of fear avec un côté moins froid peut-être, le son à la Mob 47 n'est jamais trop loin non plus. La plupart des morceaux sont relativement rapides sur un d-beat speedé bienvenu mais quelques mid tempo donnent un côté bien dansant à l'affaire au bon moment. Classique et sans fioritures décoratives, ça devient vite obsédant. Les textes sont un peu obscurs en terme de compréhension, y a deux morceaux qui tournent autour de la bouffe et de la surconsommation de merde, en tout cas ça tchatche pas de guerre ou de morts ou de bombes, c'est déjà quelque chose. Pas de crâne ou autres têtes de mort sur la pochette, ah si quand même sur le poster qui sert un peu à rien, gatefold, en gros un disque qui revient obstinément sur ma platine et se fade plusieurs passages de suite.
Noir de Cou n°1 (zine) :
Bon eh bien il faut croire que wee wee est capable de deviner à l'avance ce que je penserai d'un zine... D'abord une superbe couverture sérigraphiée à Bordeaux du côté de loulou prod dessinée par Momo et LL cool jo. Le sommaire n'est pas de ceux qui me font bondir (Alicja Trout, Henry fiat's open sore, une pin up etc) même si la perspective de découvrir des trucs que je ne connais pas m'intrigue. Des chroniques de skeuds, des dessins, quelques photos (de David p, fort réussies comme souvent) bon normalement ça peut le faire. Format A5 impeccable, mise en page simple mais aérée et agréable. Ca commence pas si mal. Et puis là le ton du zine s'impose. Très maniéré, assez branleur mais d'une manière démonstrative, les interviews ne me motivent pas plus que ça, évidemment t'es rock and roll coco, t'as tout compris à la vie et aux blagues foireuses, qui foutent la honte, franchement j'aimerais pas boire un coup en terrasse avec toi mec, du coup tu t'en vantes dans des reports inutiles ou dans des chroniques de disques dont tu ne sais pas grand chose à la fin de leur lecture si ce n'est qu'il faut aimer ou pas pour être dans la course. Rien à foutre. Le texte sur les reformations par wee wee est pas mal mais il manque de place, ça m'a donné l'impression qu'il était incomplet, pas fini. Au final, sorti de quelques pages lues de haut en bas j'ai quand même souvent eu envie de passer à l'article suivant, ce qui est arrivé un peu trop de fois à mon goût. Ca fait bizarre d'autant plus que la plupart des acteurs de ce zine ont dans l'ensemble déjà pas mal de kilométrage pour tout ce qui concerne l'impression papier de ce genre d'objets. A toi de voir.
Deathraid s/t Lp (Black water records) :
Premier lp pour ce groupe de Seattle qui balance discrètement 14 morceaux directs et violents dans la tradition du coin dont on sent bien l'influence. Avec des membres qui ont pour certains déjà pas mal de bouteille ça fusille de loin mieux que Consume et ça lorgne à mort du côté de State of fear avec un côté moins froid peut-être, le son à la Mob 47 n'est jamais trop loin non plus. La plupart des morceaux sont relativement rapides sur un d-beat speedé bienvenu mais quelques mid tempo donnent un côté bien dansant à l'affaire au bon moment. Classique et sans fioritures décoratives, ça devient vite obsédant. Les textes sont un peu obscurs en terme de compréhension, y a deux morceaux qui tournent autour de la bouffe et de la surconsommation de merde, en tout cas ça tchatche pas de guerre ou de morts ou de bombes, c'est déjà quelque chose. Pas de crâne ou autres têtes de mort sur la pochette, ah si quand même sur le poster qui sert un peu à rien, gatefold, en gros un disque qui revient obstinément sur ma platine et se fade plusieurs passages de suite.
Dial house not dead
Le printemps est revenu donc.
Kiki prend beaucoup de liberté ces temps-ci.
Rencontre aux sommets des élites parisiennes.
Général Pati, énergie, action envie.
Un grand monsieur à l'écoute aussi acérée que la parole que des superlatifs ne sauraient décrire même si oh bordel non je ne vois pas tout comme lui. Mais souvent, c'est pas sur l'essentiel que je suis en désaccord. On est bien chanceux de rencontrer de pareilles personnes dans une vie.
David qui se prépare d'ailleurs à emménager sur Paris suite à son test d'embauche dans un sombre bar parisien. Comment le blâmer de vouloir quitter la province pour rejoindre une ville aussi immanquable et généreuse que la capitale, ce croisement de la culture internationale? Je ne le féliciterai jamais assez de ce bon geste.
La géométrie, pierre angulaire de la stratégie de bon aloi.
Un mister d'arsen lupunk, bien sympathique trio lillois me semble-t-il qui s'il ne sait pas forcément me réjouir musicalement (bien qu'une petite reprise d'Oth reste une reprise d'Oth donc bon rien à dire) a su me faire rencontrer des gens contents d'être là pour jouer, rencontrer du monde, soutenir une cause, rigoler un bon coup et manger autour d'une table avec des inconnu-e-s. Pas chiants, concernés, ça fait plaisir de continuer à croiser des gens dans leur genre. Lucha y fiesta il paraît, certains ne s'y trompent pas.
Les frères jacques rejouent, dès qu'ils ont fini l'apéro ils filent dans une salle bien connue près de la Villette balancer leur reformation à la face d'une foule ébahie. Je te dis pas comment ils effacent les gloires fanées de la oi en quelques secondes.
Chiotte rules
lundi 20 avril 2009
Stratégie alimentaire moderne
Encore quelques photos du côté de Genevilliers, avec votre meilleur guide, Franky.
Des enfants chinois heureux, bientôt chez vous pour votre plus grand bonheur. Gare aux guitar heroes.
Odo est très méditatif comme gars.
Raf, c'est mon fleuriste préféré.
Avec papa qui berce fiston, la cellule familiale n'est jamais déstabilisée pendant le concert à la maison des jeunes.
"Don't mess with me"
"Or please do"
OG Brutus, ma gueule.
Et Yo de Tours, le temps passe et il se bouge toujours le cul par chez lui, respect.
Note pour plus tard, faire une étude comparative entre Tours et Orléans. Chloé, t'es où bordel?
jeudi 9 avril 2009
jeudi 2 avril 2009
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